SYNAGOGUES D'ALGERIE
Les synagogues furent nombreuses dans les principales grandes villes d'Algérie mais aussi dans des petits villages très reculés où était pratiqué un judaïsme très ancien préexistant à l'islam.
Cette page publiée le 17 avril 2014 a été entièrement refondue en janvier 2015. Elle est depuis régulièrement ré-actualisée par de nouvelles photos. Si vous possédez une photo de votre synagogue, si vous désirez voir publier sur le site une photo de synagogue d'Algérie, écrivez nous sur les commentaires ou sur contact@judaicalgeria.com
Les Synagogues d'Alger
Alger - Synagogue de la Place Randon - Photo inédite - publiée le 25 octobre 2015
Inédit ! Cette annonce dans le journal l'Univers Israélite du 11 décembre 1925 - publié le 6 janvier 2018
Alger - La grande Synagogue de la place Randon publié le 22 octobre 2015
Interieur de la Grande Synagogue d'Alger
Interieur de la Grande Synagogue d'Alger
Le Grand Temple était celui des cérémonies officielles ; c’était aussi la synagogue fréquentée par le grand-rabbin d’Algérie, Maurice Eisenbeth, qui y officiait avec une magnifique voix de basse, notamment le jour de Kippour.
Le temple de la rue Scipion était plus spécialement celui des notables et des grands commerçants de la ville. Ses rabbins titulaires étaient les rabbins Zerbib et Kamoun, ce dernier devenant au moment de la guerre d’Algérie aumônier général des Armées.
D'après Albert Bensoussan "les synagogues d'Algerie"
http://www.vitaminedz.com/les-synagogues-d-algerie-par-le-prof-albert-bensoussan/Articles_277_816851_16_1.html
Inauguration de la Grande Synagogue d'Alger le 21 septembre 1865
Article de Charles Desprez paru dans le Journal de l'Akhbar du 21septembre1865
Les autres synagogues d'Alger :
Le temple Guggenheim avait un rituel particulier (ashkénaze) qui était indiqué sur les livres de prière en usage dans les synagogues d’Algérie.
Le temple de la rue de Dijon, fondé en 1894, était la synagogue des mariages et pour cela même considérée comme le plus beau lieu de culte d’Alger. Elle contenait jusqu’à cinq cents personnes. À l‘intérieur une magnifique tenture rouge recouvrait le tabernacle, avec de chaque côté des céramiques anciennes. L’éclairage autour de l’autel faisait briller les incrustations de verre de cette tenture, créant ainsi une certaine féerie. Au fond de la synagogue s’élevait une tribune, pouvant contenir soixante personnes, et qui abritait un harmonium servant aux cérémonies. Les enfants de chœur y prenaient place pour les chants de mariage. Jusqu’aux derniers temps l’harmonium était tenu par Mme Doneddu, mère d’Ida Doneddu, qui fut la grande cantatrice d’Alger et chanta même à l’Opéra de Paris. Les mariages étaient célébrés par un rabbin qui en avait fait sa spécialité et doté d’une voix magnifique : Aaron Molina.
Aujourd’hui toutes ces synagogues ont disparu ou ont été transformées en mosquées. D'après Albert Bensoussan "Les synagogues d'Algérie" ibidem
Alger - Ce qui reste de la Synagogue de la rue de Dijon aujourd'hui - publié le 30 aout 2014Les restes de la Synagogue de la rue de Dijon , aujoyrd'hui en ruines
Interieur de la Synagogue de la rue de Dijon
Alger - La devanture de la Synagogue de la rue Scipion (dans la Casbah) aujourd'hui transformée en magasin de vêtements (photo Richard Dadouche)
Alger - Synagogue du quartier de Belcourt
Alger - Synagogue de la place de Chartres à Alger, démolie en 1837. Aquarelle par le Cdt Leblanc, s. d. L’original montre que les colonnes et les murs de la synagogue étaient polychromes, en accord avec l’architecture mauresque.
La Synagogue de Blida
Les restes de la Synagogue de Blida sur des photos prises en 2015
Porte de la Synagogue
Porte de la Synagogue de Blida - Détail montrant la date d'ouverture 1863
Synagogue de Blida .Gros plan sur la porte
Porte de la Synagogue de Blida . Gros plan avec l'inscription "Temple Israélite"
Blida - Interieur de la Synagogue 1950 Photo Martine Charbit
La Synagogue de Miliana
Synagogue de Miliana
La Synagogue d'Oran
Oran - Une vue ancienne de la Synagogue






Histoire de la Grande Synagogue d’Oran
Par Edgar Attias
La communauté juive d'Oran ne manquait pas de lieux de prières : la synagogue consistoriale, le kahal de la place de Naples, la synagogue Lasry, du nom de Jacob Lasry qui l'offrit à la communauté en 1863, la synagogue rabbi Youda Moatté, rue d'Austerlitz, la synagogue Ezagouri, rue de Lützen, la synagogue Haïm Touboul ouverte en 1877 rue des Pyramides (entre autres). Mais ces lieux du culte ne suffisaient plus. Trop petits et trop dispersés, ils ne favorisaient pas le rassemblement de la communauté.
Il lui fallait un bâtiment de prestige correspondant à son importance. Le retard était manifeste si l'on songe que la grande synagogue de Mostaganem fut inaugurée en 1857.
C'est au cours de la séance du conseil municipal du 28 septembre 1867, dirigée par le maire Mr Floréal Mathieu que fut prévu l'emplacement de la synagogue à l'angle du boulevard Sébastopol et du boulevard Magenta.
Dix ans plus tard, en 1877, las d'attendre, le consistoire israélite, se référant à cette vieille séance, décide de construire un temple. Le terrain est donné gratuitement par la ville.
La construction va se faire par souscription volontaire en Afrique du Nord, en France. Simon Kanoui fit même une tournée en Angleterre.
Le Crédit foncier de France prêta des sommes importantes. Mais les provisions étaient insuffisantes. Il y eut de longues interruptions de travaux. Il a fallu une foi extraordinaire pour recueillir les fonds nécessaires mais aussi le courage religieux et politique pour mener à bien l'organisation et la direction de l'oeuvre.
Le 11 Mai 1879, Simon Kanoui pose enfin la première pierre de la grande synagogue.
La communauté tout entière s'employa pour que cette oeuvre puisse être enfin achevée. Il faudra attendre 38 ans pour que se réalise ce projet grandiose. Les devis ayant été largement dépassés, la municipalité participe pour clore le budget manquant.
En 1915, Simon Kanoui mourut sans voir l'aboutissement de ses efforts et l'achèvement du bâtiment qui devait être dans son esprit la plus grande synagogue de l'Afrique du Nord.
En 1918, le grand rabbin Weil réceptionna la grande synagogue, " la plus belle d'Afrique du Nord ". Oeuvre de M. Dagne, élève de Viollet-le-Duc, elle aurait été construite (dit-on) avec des pierres de taille importées de Jérusalem.
Le 12 Mai 1918, l'inauguration a lieu en présence d'une foule énorme de plus de 5000 personnes venues de tous les coins d'Algérie mais aussi de France et de l'étranger. Il n'y eut pas assez de place, mais les prières pouvaient être entendues de la rue.
Toute la nuit l'allégresse et les chants se sont fait entendre, et dans les maisons en paix, les pères levaient les verres en regardant leurs enfants et disaient : " lekhaîm, lekhaîm " (à la vie, à la vie).
Mais à cette date-là, la guerre n'est pas encore terminée, aussi le grand rabbin Weil termine son allocution " en suppliant Dieu de protéger la France, de lui conserver sa force et son prestige, et de lui donner enfin la victoire qu'elle a si bien méritée ".
Vu de l'extérieur, le bâtiment est très important. La façade où une splendide rosace dont les vitraux multicolores illuminent l'intérieur est parée de chaque côté de 2 tourelles de 20 mètres de hauteur où sont accolées deux ailes aux coupoles harmonieuses qui terminent l'ensemble. Ces vingt mètres sont symboliques du désir d'élévation religieuse et témoignent de la liberté de construire en hauteur, trop longtemps réprimée en terre d'Islam.
A l'intérieur trois grandes portes surmontées de vitraux s'ouvrent sur la nef.
Celle ci est séparée des bas-côtés par des arcades décorées d'arabesques et que supportent des colonnes de marbre rouge.
Le coeur est réservé au tabernacle (hekkal) portant gravé au sommet les commandements de Dieu et l'étoile de David que l'on retrouve d'ailleurs dans tous les vitraux.
A l'intérieur derrière une draperie de velours rouge brodée d'or datant de 1845, plusieurs sépharims sont enfermés. (sépher au singulier) Chacun d'eux contient écrit à la main, en hébreu, sur parchemin, le pentateuque ou les 5 livres de Moïse.
En avant du tabernacle on remarque un magnifique candélabre à huit branches, sur le modèle de celui de Jérusalem. (Celui-ci n'a que sept branches, mais il est interdit de le reproduire, d'où la branche supplémentaire)
Au milieu de la grande Nef, la Téba, en noyer ciselé, ainsi que la chaire en pur style oriental.
900 sièges, en chêne massif, occupent le rez de chaussée.
Au 1er étage, sur les côtés et devant les grandes orgues qui comprennent 18 jeux et 900 tubes, sont les places réservées aux femmes, les hommes seuls ayant droit d'occuper le bas pendant les offices religieux.
Le plafond de cet oratoire comme celui des deux bas-côtés du temple est orné d'une Ner-Tamid, (lumière perpétuelle) aux nombreuses veilleuses ajourées, parce que " la flamme symbolise l'âme ".
Les ampoules électriques sont dissimulées dans de jolies lanternes marquées de l'Etoile de David.
Au premier étage, deux salles servent, l'une aux assises du tribunal rabbinique chargé de trancher les différends religieux, que préside le grand rabbin, l'autre aux délibérations du consistoire.
Dans la première pièce se trouve une grande bibliothèque renfermant toute une littérature religieuse sous forme de manuscrits et de livres vieux de 2 ou 3 siècles.
A l'intérieur se trouvent des plaques où sont gravés les noms des 400 juifs morts au cours de la guerre 1914 -1918.
Le bâtiment est majestueux, très haut, les pères du projet ayant voulu briser par ce symbole une des 12 lois de la charte dite d'Omar sur la dhimmitude qui stipulait que les synagogues ne devaient jamais être plus hautes que les maisons arabes.
Trente quatre ans plus tard, des travaux furent entrepris pour une remise en état du Grand Temple qui n'avait fait l'objet d'aucune réparation depuis sa construction, travaux qui devenaient urgents pour la sécurité de l'édifice et de son auditoire.
Les travaux débutèrent par la réfection de la toiture, où les ardoises furent remplacées par des tuiles, couverture plus appropriée. Ce fut ensuite la remise en état de la voûte, haute de plus de 40 mètres. Ensuite eut lieu la pose de la grille d'entrée en fer forgé, conçue et réalisée par les établissements Bendayan. Sur le plan pratique, elle protège l'entrée du Temple, abri souvent utilisé et pas toujours respecté. Un jardinet orne l'espace libre entre la grille et le porche. Vitraux neufs, peintures intérieures et extérieures, complétèrent les travaux et redonnèrent au Grand Temple d'Oran la splendeur de ses premières années.
Le 14 septembre 1952, le grand Temple d'Oran rénové est inauguré solennellement.
" Ce Temple, restauré dans sa primauté, laisse une impression de grandeur et d'austérité sans pareille " déclare M. Smadja, avant d'en annoncer la consécration à Simon Kanoui, de sainte mémoire.
A l'Indépendance, la grande synagogue fut transformée en mosquée.
Bien plus tard Henri Chemouilli lui écrivit une ballade :
" Frères musulmans qui notre Dieu priez
Cette synagogue que tant avons chérie
Belle aujourd'hui entre vos mains passée
Appelez-la Mosquée Simon Kanoui " (extraits)
La Synagogue de Constantine
Constantine - La Synagogue au fond de la Place Négrier (dit Temple Algérois)
Synagogue de la Place Négrier (autre vue)
Constantine - Le tribunal rabbinique et la Synagogue
Constantine - La synagogue au fond de la place Negrier
Inauguration de la Synagogue Sidi Mabrouk dont le rabbin était David Doukhan
Les Synagogues de Tlemcen

Tlemcen - La Synagogue du Rabb
Tlemcen La Synagogue du Rabb autre vue
TLEMCEN - Intérieur de la Synagogue du Rabb
Tlemcen - Synagogue du Rabb le jour du Grand Pardon
Tlemcen - La Grande Synagogue
Tlemcen - Interieur de la Grande Synagogue
Synagogue de Sétif








Ghardaia - La Synagogue
Célébration de Simha Torah à la grande synagogue de Ghardaïa vers 1960







Saïda - La Synagogue





Parmi les communautés juives d'Algérie, celle de Bône serait une des plus anciennes. La synagogue de Bône était aussi nommée "la Ghriba", comme celle de Djerba. Sa renommée était due à une "Bible miraculeuse", gardée précieusement en raison des propriétés prodigieuses qu'on lui attribuait.
Voici ce que rapporte la légende de la Ghriba : "Pendant la période turque, un Maure de Bône, entrepris le pèlerinage à la Mecque. Pour le retour, il s'embarqua à Alexandrie. Au nombre des passagers se trouvait un juif, également de Bône, revenant de Jérusalem, porteur d'un coffret mystérieux renfermant une Bible.
Une tempête s'éleva au large d'Alexandrie, le navire périt, et de tous les passagers, seul le Maure eut la vis sauve. A son arrivé à Bône, il raconta le naufrage et la mort du juif. Quelques jours après, une sentinelle turque remarqua un petit coffret que les vagues poussaient vers le rivage ; aussitôt il l'annonça au Caïd, qui envoya quelques homme pour prendre ce coffret, mais en vain. Chaque fois qu'ils voulaient l'approcher, la boite reculait et disparaissait dans les flots. Ce mystérieux phénomène dura plusieurs jours.
Les Turcs se rappelèrent alors le récit du Maure au sujet du naufrage, du juif et de son coffret. Aussitôt le Caïd fit venir quelques israélites et leur ordonna de s'emparer du petit coffret ; à peine s'y étaient-ils approchés, que le coffret s'avança rapidement vers eux ; ils le prirent et sortirent d’un colis rendu étanche, un sépher Torah ; Ce miracle fit une telle impression que la communauté éleva une synagogue autour de cette relique pour consacrer cet évènement.
C'est là l'origine de la synagogue de Bône, qui jouit auprès des Maures d'un respect tel que plusieurs d'entre eux, selon des récits, allaient en secret y faire de ferventes prières…".
Certains disent également que ce texte très ancien venait de Jérusalem et datait de l’époque de la destruction du Temple.
Depuis ce miracle, la ville hérita du surnom de "Bône la miraculeuse". En 1962, lors de l'exode des juifs d'Algérie, le Grand Rabbin de Bône, Rahamim Naouri, prit avec lui le "Sépher Thora" miraculeux et le déposa dans une synagogue à Paris.
Les juifs de Bône au nombre d'environ 4000 en 1962, comme leurs coreligionnaires en Algérie, optèrent, en effet, pour la France.
Après l'indépendance, la synagogue a été transformée en mosquée (Salah Eddine El Ayoubi).
Texte communiqué par Patrick Benichou 30 mai 2015

Carte postale ancienne representant la Synagogue de Relizane
Synagogue de Relizane - Entrée actuelle
Synagogue de Batna
BATNA - L'ancienne Synagogue
Il y avait une synagogue à Batna jusqu’au 2 juillet 1968 quand elle fut déclarée bien de l’État, elle se trouve sur la rue Grine Belkacem et sert de centre de documentation etde diffusion pédagogique.
Batna Interieur de la Synagogue
Synagogue de Laghouat
Laghouat - La Synagogue
Laghouat - Interieur de la Synagogue
Laghoiuat Interieur de la Synagogue . Lagh Baomer 1960
Remerciements à Victor Partouche
Commentaires
1. Schlomo | Jeu 13 Août 2015
Tombé par hasard sur ce merveilleux site en recherchant des clichés "introuvables" de la synagogue de Guelma. Et je m'aperçois n'être pas le seul à me souvenir de cette belle bâtisse : j'ai quitté Guelma pour Bône à l'âge de 5 ans et pourtant je garde en mémoire cet édifice impressionnant et qui me paraissait immense. On y accédait par un petit jardin fleuri et arboré formant une espèce de péristyle donnant sur la rue Mogador. J'habitais un peu plus haut sur le même côté du trottoir.
J'adorais ces jours de Fêtes où les plus jeunes et nos mères attendions la fin des prières dans une ambiance joyeuse, parfumée à la fleur d'oranger dont on nous aspergeait sans retenue.
Je me souviens aussi que le vendredi soir après l'office, un vieux monsieur chenu distribuait des friandises qui nous ravissaient au plus au point : je me demande d'ailleurs s'il ne s'appelait pas Monsieur Attyasse...
Schlomo W.F
Ps : @ ATTYASSE | Lun 10 Août 2015 je vous contacte de ce pas .
2. ATTYASSE | Lun 10 Août 2015
Monsieur Granet,
Je viens de tomber sur votre message. Ma famille paternelle est originaire de Guelma. Je m'y suis rendu en 2010 et dispose de photos récentes de l'intérieur et de l'extérieur.
Je vous laisse mon email : e.attyasse@gmail.com
Emm. Attyasse
3. Taib | Mar 28 Juil 2015
j'ai toujours connu la synagogue de Bone dans la rue du rabbin KAHN.....
4. Maurice Moati | Mar 21 Juil 2015
Merci, et félicitations pour le travail de cette page où j'ai revue la Synagogue d'Orléansville: L'ancienne d'avant le tremblement de terre de 1954, et celle d'après, toute moderne, et toute neuve qu'on leur a laissée ...... Et même une photo du rabbin Cabessa que je n'ai pas connu, mais dont mes parents, et ma famille m'en ont tellement parlé.
5. Chebat | Lun 20 Juil 2015
J'ai eu le cœur serré en voyant ce qu'était devenue la synagogue de la rue Scipion. Un magasin misérable! J'ai le souvenir que mon père (zl) y allait dire le kadish pour son père. Si ma mémoire est bonne, la theba était faite du bois de vaisseaux espagnols de l'époque de Charles-Quint, coulés par les Ottomans. Il me souvient aussi que cette victoire des Ottomans était célébrée comme un petit Pourim, car les juifs craignaient que les Espagnols instaurent l'Inquisition à Alger.
6. Elkaim régis | Ven 17 Avr 2015
Bonjour je cherche toutes informations/photos/documents concernant mon aieul rabbi ychoua ou yéochoua Elkaim de médéa.Vous pouvez me joindre à mon adresse mail regis.katz@sdv.fr
7. granet e | Ven 17 Avr 2015
Bonjour,
Je recherche désespérément une photo de la synagogue de Guelma!
Merci
Shabbat shalom
8. Dim 01 Mars 2015
Où était La Synagogue de Marengo...quelle ville en Algérie..
10. Sammy | Ven 02 Jan 2015
Bonjour,
il manque la synagogue d'Annaba qui est très connue !!! C'est la Ghribia d'Annaba fondée après celle de Tunis lorsque les juifs fuyait les romains, il y a d'ailleurs une pierre importée de Jérusalem.
11. ADDA Michel | Ven 16 Mai 2014
bonjour
quelqu'un a t il des photos de la synagogue de Guelma ?
merci d'avance
12. Féderzoni | Sam 08 Mars 2014
Message pour David Schnee
Je vous remercie pour avoir répondu à mon message....
Un grand merci d'avoir fait parvenir cette photo au webmaster,
qui maintenant figure dans cette rubrique.
Cordialement.
13. Ghilaine | Ven 07 Mars 2014
Mille fois BRAVO !!!
Ceux qui ont fait ce site font un travail remarquable !!!
Merci.
14. david schnee | Dim 16 Fév 2014
je dispose d'une photo annotée "synagogue de MARENGO (Algérie)" .
je suis tout disposé à vous la faire parvenir si cette photo correspond à votre recherche.
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Date de dernière mise à jour : 24/09/2019
Commentaires (21)
Pour Yakov Ahdad
Je suis très surpris qu'il existe encore des juifs en Algerie comme vous-meme. Comment est-il possible que la communauté supervise la cacheroute, levayah, des questions importantes liees a la vie juive sans les rabbins, a qui vous adressez? Les rabbanim de France ou d'Israel? J'ai vraiment beaucoup de questions a vous demander.
Pourriez -vous me rejoindre par email?
bravo pour votre travail de mémoire. Sans connaitre l'Algérie on a la sensation d'y être.
Je voulais vous demander si quelqu'un avait travaillé sur le cimetière Juif de Tiaret, ainsi que le ou les synagogues de Tiaret?
Je vous remercie pour votre réponse.
Bien à vous
Elise
J'espère que vous reviendrez un jour dans votre mère patrie ou nôtre commauté est implantée depuis 2 millénaires.(pour les juifs ayant quittés l'Algérie)
Nous sommes aujourd'hui environ 10.000 , situés entre alger, oran , la vallée du mzab , les aurès , tizi ouzou , bejaia ext...
Nous étions fort d'une communauté de 50,000 juifs avant 1962.
Nous , ceux qui sommes restés , avions subsistés à l'invasion musulmane , la loi crémieux , boumedienne , ben bella ,le terrorisme islamiste.
Et pourtant aujourd'hui , notre communauté concentre environ 10 milliards de $(environ) et nous avons même des hauts fonctionnaires et membres du gouvernement.
Entre autre , les autres algériens ignorent pour la quasi totalité notre judaïté car même certaines de nos femmes se ^voilent^ pour se fondre dans la masse. On marient nos enfants jeunes dans la communauté pour éviter les mélanges avec les autres ( musulmans).
Nous sommes une des communautés les plus isolées et fermées du monde et depuis 50 ans nous vivons fermés dans l'anonymat sans aide d'Israël(que l'on rejette pour perpétuer le patrimoine millénaire de notre communauté ici)
J'aimerais avoir plus d'info sur l'histoire et le mode de vie de la communauté , la pratique religieuse , la langue, la cacheroute , l'antisémitisme ext...
En tout cas , vous êtes chez vous en Algérie, il y 'a vraiment tout , des synagogues(cachées) , des cérémonies, des grands rabbins et même des boucheries cacher(se prétandant halal!)
Sinon bonne journée! Çà fait plaisir d'avoir des contacts de l'extérieur( on se sent un peu isolé)
Dans la mesure du possible des photos de la synagogue et du cimetière juif de Berrouaghia ( Titteri ) Medea Algérie pour enrichir mon blog .
Merci d'avance .
http://bghianass.blogspot.com/search/label/PHOTOS%20DE%20NOTRE%20CHERE%20VILLE
Quelqu'un a-t-il des photos?
Bravo pour ce site!
Ne a Bou saada algerie 1866
Où est-ce que je la trouve?
Message à Patrick Benichou (Synagogue de Bône) :
La prochaine fois quand vous "copiez/collez" des articles de tiers personnes, merci d'avoir la délicatesse de préciser la source et surtout de copier correctement le contenu. En effet, le commentaire que vous avez posté vient de mon site http://annaba.net.free.fr/html/juifs.htm
Quant à la photo que vous avez posté, il s'agit non pas de la synagogue de Bône mais de la "mosquée Abou Marwane" d'Annaba (Bône) bâtie en 1033 (la doyenne des mosquées d'Algérie) ! C'est comme si vous avez posté la photo de la Cathédrale "Notre de Dame de Paris" en déclarant qu'il s'agit de la grande mosquée de Paris...
La synagogue de Bône (la Ghriba) est située dans la rue Rabbin Khan (Vieille Ville) transformée en mosquée (Salah Eddine El Ayoubi) voir : http://annaba.net.free.fr/html/ghriba.htm
Salutations.
Merci d’œuvrer pour la mémoire.
L'Histoire doit demeurer et lutter ardemment contre la falsification.
L'Algérie appartient également, et sans aucune contestation possible, à ses enfants Juifs et Chrétiens.
Merci pour votre travail.
Ali d'origine Kabyle
Je suis d'origine kabyle, non juive mais je m'intéresse à ce passé qu'on a pas voulu nous transmettre.
L'amnésie plutôt quel mémoire, c'est rageant.
Extraordinaire ce travail. je cherchais à savoir quelles synagogues avaient été ré-ouvertes depuis peu suite à une info que j'ai lue. Je ne vois pas celle de l'ex ville qu'on appelait Fort National, et la plupart des villes kabyles mais je sais qu'il y avait des berbères de confessions juives et principalement en Kabylie, ils devaient forcément avoir un lieu de culte.
Bonne continuation pour ce site qui élève la mémoire....
@ Evyatar (Tari) Chelouche
je peux me tromper mais votre nom me parle. Je suis allée en Israel en 2012 et j'ai fait un bout de brousse à Neve Tsedeck ou une famille du même nom a fondé Tel Aviv. Le fondateur était Aharon Chelouche (Rabbin) et les descendants ont continué à agrandir la ville. La famille était dans l'industrie agricole et j'y ai vu la firme et sa maison, enfin ce qu'il en reste. Une petite place lui ai dédiée à Neve Tsedek, une fresque murale, J'ai des photos si çà vous intéresse. Je sais également qu'une inscription disait que le site allait être restaurer dans l'année.. Peut être que dans cette ville, vous parviendrez à obtenir des infos parce qu'en effet, Aharon Chellouche était d'origine algérienne.
Mylène
Vous serez sympa de partager vos information avec moi, merci d'avance.
Monsieur,
Tout d’abord je tiens à vous féliciter pour votre initiative de créé ce site magnifique.
Au sujet des synagogues d’Oran – dans ma famille nous avons une historie qui mention une certain synagogue “Portugaise” à Oran: La seule information que nous possédons c’est que entre les quatre familles de fondateurs figure les noms des familles Chelouche (Schlouch/Schelouche/Chlous etc.) et Tourjeman.
Il est possible que cette synagogue été située aux environs de la grand synagogue mais ce ne pas certain.
Avez-vous des informations supplémentaires au sujet de cette synagogue?
Merci d’avance et encore une fois bravo pour votre travaille,
Evyatar (Tari) Chelouche